Les ruines de la Demeure des Valentine

[quête principale]

L’effrayant individu à la faux disparu devant les yeux brillants d’Ivy… L’émotion, la tristesse et la rage, pouvait se lire sur son visage effaré, déformé par la douleur de voir, impuissante, les derniers vestiges de son père, le Comte Valentine, disparaître dans les flammes… Le temps pressait ; elle le savait… L’ancienne demeure des Valentine était en piteuse état depuis que son père avait dilapidé la quasi-totalité de sa fortune dans une quête qui le conduisit à sa perte… La structure du manoir instable ne demandait qu’à rendre l’âme… Et le feu qui c’était déclaré pendant son affrontement contre Zasalamel dans la bibliothèque, se propageait à vitesse grand V dans les pièces restantes de la demeure… Bientôt, il serait trop tard à Ivy pour quitter ce piège de flammes infernal qui ravageait toute sa vie… Isabella savait qu’elle devait réagir… Qu’elle devit être forte… Mais elle était incapable de bouger, elle était pétrifiée, meurtrie par l’horreur du spectacle qui se jouait en ce moment sous ses yeux bleu céruléens…

Zasalamel n’avait pas simplement gagné un combat, il avait réussi à briser Isabella « Ivy » Valentine… A cet instant, Isabella n’était plus qu’une enveloppe vide, anéantie par la tragédie qui se jouait devant elle… Comme déchirée, elle se sentait impuissante, faible… Isabella serra son épée contre sa poitrine laissant librement s’écouler les larmes qu’elle n’avait plus la force de retenir ; attendant impassible la venue de la Faucheuse…

Mais c’était sans compter sur son engeance démonique et le sang maudit qui coulait dans ses veines… Lui n’avait pas renoncé… Comme chez les grands prédateur, l’instinct de survis prédominait… Une incroyable énergie émana de la jeune femme dont le visage n’était plus déformé par la douleur mais la haine… Son mal être se transforma en une soif de vengeance et de revanche sans égale… Zasalamel allait payer et ce, même si pour cela, elle devait le suivre dans la mort…

Mais avant toute chose, elle devait s’extirper de cet enfer de flammes qui menaçait de s’effondrer d’un instant à l’autre… Ivy, les yeux devenus transparents, alimentée par le mal, se releva comme possédée…

*A notre prochaine rencontre, tu me supplieras de te tuer…*

Connaissant la demeure familiale sur le bout des doigts, Ivy se fraya avec agilité et dextérité un chemin à travers les ténèbres et les flammes… La respiration haletante par la course effrénée qu’elle livrait contre la Mort, Isabella gagna se qui restait de la grande salle de bal et ses grandes vitres dorées qui donnait sur la falaise et sur le lac que surplombé le château familial du haut de sa colline… Sans se soucier de la chute vertigineuse qui l’attendait, Ivy, tel un obus, se jeta par l’une des nombreuses vitres qui éclaircissaient jadis cette somptueuse salle de réception…

Une telle chute était une pure folie, comme en témoignaient les rochers aiguisés à fleurs d’eau… Mais l’Anglaise avait un avantage, son épée… La jeune femme, telle un maître d’orchestre, attendit le dernier moment, le point de non retour, pour utiliser l’Ivy Blade comme un fouet… L’épée, se déroula entourant Isabella avant que celle-ci exécutant une pirouette gracieuse pour se retrouver ta tête en bas face à la falaise avant d’envoyer contre celle-ci son épée qui se planta dans la roche… Ainsi suspendue dans le vide à quelques mètres des rochers sortant de l’eau, Ivy décrocha son épée de la falaise pour plonger dans l’eau noire et glacée en toute sécurité…

Isabella nagea jusqu’au rivage et s’extirpa de l’eau à bout de force, ce laissant tomber sur le rivage les yeux rivés vers les étoiles et la lune qui éclairait le ciel de sa lumière calme et reposante… Alimentée par son côté maléfique, unique héritage de son père biologique, Cervantes de Léon, elle avait échappée in extrémiste à une mort certaine…

Maintenant, épuisée, elle avait terriblement sommeil… Et malgré les efforts surhumains dont elle faisait preuve pour ne pas s’endormir, elle ferma ses yeux redevenus bleu céruléens, indiquant qu’elle n’était plus possédée, et sombra dans un sommeil terriblement agité où elle revoyait le visage de Zasalamel, son bourreau, son cauchemar…

La Chimère avait fini par atteindre l’Angleterre. A son bord, plusieurs homme à moitié mort. Apparemment, il n’était pas de la trempe des pirates. Les vivre avait manqué ces derniers jours et l’un d’eux était atteint du scorbut. Le seul qui semblait plutôt normal était le capitaine qui regarda en hochant, la hochant la tête, l’état lamentable dans lequel étaient ses membres d’équipage. Ils n’étaient apparemment que quelques moussaillons qui n’avaient jamais quitter l’Inde. Apparemment, le vieux Abel l’avais roulé, une fois de plus. Maxi devras lui rendre la pareil quand il retournera a Mumbai. Il n’en pouvait plus, ils étaient en mer depuis plusieurs jours. Il avait besoin de se dégourdir un peu les jambes. Il demanda a un de ses membres d’équipage de surveiller le bateau, il pardonna au autre de trouver des vivre, des médicaments et du rhum. Quand a lui, il allait tenter de trouver quelque chose à faire dans ce beau pays. Il quitta donc son précieux navire pour parcourir les rues désertes de cette ville.

La douce et calme nuit était déjà tombe depuis plusieurs heures. Maxi croyait que l’Angleterre serait plus active la nuit. Il marchait tranquillement sur les dalle de pave uni recouvrant les rue quand il vu au loin quelque chose troublant le ciel si calme d’ordinaire dans ce genre de nuit. En y regardant bien, il pu apercevoir ce que c’était. De la fumée, une fumée encore plus noir que la nuit s’élevait vers les cieux, toujours plus haut. Il commença a accéléré, intrigué, il se demandait ce qui était en train de bruler. Un sentiment d’excitation envahie son corps, accompagné d’un sentiment qu’il ne pouvait décrire. Un mélange de rage, de satisfaction et d’envie. Peut être celui qu’il cherchait avait t’il un rapport avec cet incendie. C’était plutôt le genre de chose que ce monstre ferait. Il ne vivait que pour répandre mort et chaos.

L’âme de Maxi brulait violament, elle brulait …..Pour sa vengeance. En tournant un coin de rue, il aperçue ce qui était en train de bruler. Un gigantesque manoir avait été envahi par les flammes. Le pirate commença à courir, le plus vite que ses jambes le portait. Son arme a la main, il espérait mettre un terme à cette souffrance qui consumait son cœur depuis trop longtemps. Il avait l’espoir que tout serais fini cette nuit. Cependant, il arrêta sa course efrainer en apercevant au loin une silhouette sautant dans le vide. Maxi était étonné que cette personne était assez désespérer pour se jeter dans le vide, mais sous les yeux de l’homme la silhouette stoppa sa descente vers la mort. Elle semblait flotter au dessus des rocher déchirant les flots avant de disparaître dans les profondeurs de la mer noire. Le dandy ne s’en occupa plus, il avait très souvent perdu des hommes qui s’étaient fait engloutir par les griffes de Neptune. En s’approchant de la maison, il découvrit qu’elle n’était plus qu’un tas de débris crachant les flammes. Même Astraroth n'aurais pas été assez stupide pour rester a l’intérieure. Il s’en retourna, déçu de sa découverte. Sur le chemin de retour il remarqua quelque chose sur la plage. Il aperçu sur la berge une femme, surement la propriétaire du manoir. Maxi pensa qu’il avait eu raison, quelle était morte, mais il ne pus s’empêcher de faire quelque pas en direction de la femme. Elle serrait entre ses main une lame, elle l’agrippait comme si c’était la dernière chose qui lui restait au monde.

Il saisit son poignait pour découvrir avec étonnement qu’elle était encore en vie. Elle était simplement évanouie. Ce qui n’était pas étonnant vu la violence des vagues dont elle venait de s’extirper. Cependant, si elle n’était pas encore en sécurité d’âpres lui. Si la marrez montait, elle mourait noyez dans son sommeil. Cette fille l’intéressa, après avoir accompli un tel exploit, elle méritait de vivre.

Après s’avoir passez la main dans les cheveux, Maxi prit la jeune fille et la posa sur son épaule droite. Elle serrait encore entre ses doigts cette mystérieuse épée. Il retourna paisiblement vers son navire, se demandant si ce geste allait lui causer des problèmes.

Face a la Chimère, il remarqua du coin de l’œil le matelot qu’il avait designer comme garde dormir a point fermé.

''Imbécile…''

Il lui donna un coup de pied dans l’intention de le réveiller mais l’homme tomba a l’eau, mais le résultat était le même alors… Lorsqu’il vit qu’il revenait à la surface, Maxi lui adressa quelque mot :

''Quand les autre reviendront, avertit les que nous restons ici encore un peu.''

Il ouvrit la porte qui donnait sur sa chambre, puis étendit la rescaper sur son lit. Il la recouvra d’un drap, espérant éviter l’hypothermie. Le capitaine arracha la lame des mains de la jeune femme et l’examine quelque peu. Sa n’avait pas l’air d’un sabre ordinaire mais il ne pouvait pas dire ce qu’il avait de spécial. Il le posa sur son bureau, par-dessus un amas de carte, avant de s’écrouler sur un vieux fauteuil. Il avait ressentit une certaine joie quand il cru que cette histoire pourrais s’arrêter ce soir. Mais sa vengeance n’était toujours pas accomplie. Il ferma les yeux, tentant de s’endormir en revoyant le visage de son frère qui hantait ses pensées…

[color:45bc=orange:45bc]

[/size]

Le sommeil terriblement agité, Ivy exténuée et fiévreuse était en train de revivre sa triste et douloureuse rencontre avec l’homme à la faux… Dans son délire, elle balbutia quelques mots inaudibles concernant un livre ancien et Soul Edge…

Bien qu’elle aie souvent côtoyée la mort, jamais elle ne s’était retrouvée aussi prête des portes du royaume des morts ; sa vie ne tenant plus qu’à un fil… Un nombre incalculable de questions sans réponses envahissait son esprit meurtri par les événements survenus dans l’ancienne demeure familiale et dont la plus importante était l’inquiétante et inexpliquée évolution de sa précieuse épée…

Au bout de deux jours de délires ininterrompus, la fièvre retomba, permettant ainsi à la jeune femme de prendre un repos bien mérité…

Trois jours entiers depuis l’incident du manoir s’étaient écoulés lorsque qu’Ivy se réveilla dans un lit chaud et douillé… D’abord dans le brouillard du réveil, elle se redressa machinalement et étira à la manière d’un félin, ses muscles engourdis par un long repos ressourçant…

Quelle fut sa surprise lorsqu’elle ouvrit les yeux… Où était-elle ? Le décor entièrement en bois sculpté était stylé, de grands rideaux rouges étaient accrochés aux fenêtres massives, filtrant la lumière du jour… Ivy connaissait bien ce style de décor, c’était la cabine d’un navire et de grande taille à en juger par la largeur de la pièce…

Son cœur s’accéléra légèrement à l’idée d’être sur le navire de Cervantes… Mais cette angoisse passagère disparue rapidement… Si tel était le cas, jamais elle ne se serait réveillée ; surtout pas dans un lit, le lit du capitaine qui plus est… Lentement, elle se remémora les tristes événements qui c’étaient déroulés au manoir Valentine, qui pour elle venait simplement de se produire, inconsciente d’avoir dormi trois jours durant…

C’est alors que ses yeux se posèrent sur le bureau tapissé de cartes maritimes sur lequel était posé sa précieuse épée… Non loin de son épée, elle aperçu ses vêtements pliés et fraîchement lavés…

Sans un bruit, elle enroula autour de son corps nu le drap du lit et se leva…. Les muscles des jambes encore engourdis et faible, elle se dirigea la démarche hésitante vers son épée… Alors qu’elle allait s’en saisir, Isabella ressentit une présence humaine qui attira son regard… Un homme au look soigné et aux vêtements impeccable était assis, non, endormi, dans un magnifique fauteuil mélangeant avec élégance bois orné et feutrines rouges…

L’homme même si elle ne connaissait pas ses intentions, lui paru fiable au premier coup d’œil…

*Il est plutôt beau gosse...*

Profitant du sommeil de l’inconnu, elle se saisit de ses vêtements et se dirigea vers une porte légèrement ouverte…

*Bingo!*

La cabine avait été « amputée » d’une petite partie de sa longueur, permettant ainsi la création d’une sorte de salle de bain, de fortune certes mais bien pratique… Lavée et vêtue de ses vêtements, Ivy ressortit de la pièce et se dirigea vers le fauteuil où était endormi l’homme histoire d’avoir une petite discussion avec lui…

Plusieurs questions trottaient dans sa tête…

Maxi dormait d’un sommeil agité. Ses pensé était hanté par l’image d’un géant a la hache en train de massacré ses valeureux compagnons. Ces images ne fessait qu’attisé la fureur qui sommeillait en lui. Ne connaîtra-t-il donc pas le moindre repos avant d’avoir envoyé en enfer ce démon ? Sa vit n’avait apparemment pour seul but la mort d’un homme, quel vie pathétique. Il entendit cependant quelque bruit qui le tira de son sommeil. Quelqu'un marchait vers lui mais il sentait qu’il n’était pas en danger. Il ouvrit les yeux pour voir devant lui la jeune femme qu’il avait trouvée sur la plage vêtu des habits qui lui avait été donné. Elle semblait allée mieux. Maxi avait du l’admirer, impuissant, ces dernier jours. Son ‘’médecin improvisé’’ lui avait dit qu’elle était encore en danger, elle soufrait d’une fièvre atroce. Il était plutôt soulagé de la voir en vie, elle l’intriguait. Le dandy s’étira quelque peu puis se leva.

Quel beau spectacle au réveil, ou peut être est-ce encore un rêve.

Maxi se dirigea vers l’immense rideau qui recouvrait sa fenêtre de fond. Des qu’il les écarta, la pièce fut plongé dans la lumière du jour. Il se dirigea ensuite vers son bureau puis s’effondra sur sa chaise avant de posez ses pied sur l’Amat de cartes gisant sur la table.

Heureux que tu te sois enfin réveillé, j’aime bien mon fauteuil mais mon lit est bien plus confortable.

Il regarda la jeune femme d’un œil fatigué en se demandant encore une fois qui pouvait-elle être. Il finit par laisser tomber sa tête vers l’arrière, mort de fatigue.

Bien, je crois que nous avons quelque truc à nous dire. Laisse moi le plaisir de commencé. Nous somme sur la Chimère, mon navire. Nous nous trouvons au large pour le moment, les pirate ne sont pas très bien vus sur les ports ces temps ci. Je t’ai trouvé près d’un manoir au prise avec les flammes. Tu étais sur la berge alors je tai emmené ici.

Maxi plongea son regard dans celui de la jeune femme. Il ne savait rien d’elle. Devait-il se méfier ? Cependant, si elle était son ennemi, il serait surement déjà mort. Et puis, il n’avait jamais pus se méfier très longtemps d’une jolie femme. Il aperçu du coin de l’œil que la porte au fond de la salle était fermé pour une fois.

A ce que je vois tu as profité de mes comodités, navré, je suis sure que tu a vu mieux mais au moins, je peux prendre quelque bain pendant mes longs voyage.

Il saisi d’un geste vif l’épée posé sur son bureau pour l’admiré minutieusement. Sa lame brillait d’un éclat doré sous la fraiche lueur du soleil. Il était presque envouté par cette perle rare. Maxi n’avait pas souvent l’occasion d’admirer une arme inconnu a ses yeux. Il se leva en se dirigeant vers son invité, toujours en admirant l’intrigante arme. Puis, il la retourna avec précaution et tendit son manche vers la jeune femme.

Je crois que c’est a toi de m’éclairé sur certaine question. Qui est tu pour avoir survécue à un tel plongeon dans les flots impitoyables que j’ai vu de mes yeux.

Ivy n’avait pas pour habitude répondre aux questions… Mais elle se trouvait sur un navire loin de la côté et tuer ses occupants, si elle y parvenait, ne lui serait vraiment d’aucune utilité car dans l’incapacité de manœuvrer seule un tel navire… De plus, derrière ses airs de gentil dandy, se cachait un adversaire bien plus fort qu’il ne le laissait paraître…

Lorsque l’homme qui lui avait sauvé la vie s’empara de son épée, Isabella fut saisie dans léger frisson d’anxiété qui parcouru tout son corps et fit un pas en direction du dandy… Sans ce faire prier, elle lui arracha des mains sa précieuse épée qu’amicalement il lui tendait… Son épée entre les mains, Ivy se détendit et échangea un regard furtif mais néanmoins chaleureux en guise d’excuse pour son geste… puis, avec dextérité, elle fendit l’air de haut en bas avec son épée qui se « déplia », avant de l’enrouler autour de sa taille de guêpe à la manière d’un fouet…

Je me nomme Isabella « Ivy » Valentine et ce manoir délabré que vous avez vu en flamme n’était autre que le domaine familiale de mes parents adoptifs… Depuis leurs morts, ce manoir était tout ce qui me restait d’eux…

Et concernant ma survie, disons que c’était simplement un coup de chance...

[color=white]La voix tirée par la tristesse d’avoir perdu le si peu qui lui restait, Ivy fit une pose revivant l’instant où l’homme à la faux disparaissait dans les flammes…

Après se bref instant perdue dans ses songes, la jeune femme compta en détail de sa voix douce et mélodieuse ce qui c’était passé dans le manoir et sa confrontation avec Zasalamel, l’homme à la faux dont elle ne savait pratiquement rien…

Son histoire contée, elle s’assit les jambes croisées sur le bord du bureau et fixa un long moment le dandy droit dans les yeux… Ivy ne connaissait que trop bien le regard de cet homme ; elle avait le même… Un regard brûlant d’une flamme à faire pâlir les feux de l’enfer ; mêlant haine et vengeance…

Ivy n’était pas du genre à nouer facilement amitié et encore moins remercier quelqu’un… Et même si elle ne l’avait pas remercié, le fait qu’elle se confie au dandy était une preuve de sa reconnaissance…

[color:5867=#000000:5867]

Maintenant à vous… A qui ai-je l’honneur ? Et que cherchez-vous ?

Maxi écoutait attentivement les paroles d’Ivy. Intrigué par cette femme, il ne voulait pas en manquer un seul mot. Lorsqu’elle lui montra de quoi était capable son ‘’épée’’, il laissa paraître un petit sourire en coin qui exprimait à la fois sa surprise et son plaisir. Il n’avait pas souvent l’occasion de voir une telle arme. Puis, elle continua son histoire, assise sur son bureau, sa situation lui rappelait bizarrement la sienne. Le fait d’avoir tout perdu par la faute d’un monstre ainsi. Il ne pu s’empêcher de se replonger encore une fois a cette époque. Par contre, il avait du mal à croire que cette femme avait échappé a la mort par simple chance. Elle était n’était pas une femme normal. Pendant un instant, le pirate cru voir que les beaux yeux bleus d’Isabella avait été envahi par une couleur écarlate. Ça ne sait passer l;’espace d’un instant, peut être avait t’il trop bu la veille.

Maintenant à vous… A qui ai-je l’honneur ? Et que cherchez-vous ?

La première question était plutôt normale, mais Maxi trouva la seconde un peu bizarre. Quoique peut être pourrait elle l’informer. Il s’inclina gracieusement devant Ivy montrant qu’il connaissait au moins les bases de la politesse malgré sa position de pirate.

D’abord, je voudrais vous présenter mes sympathie par rapport a la perte de votre si précieux manoir, Isabella.

Quand a moi, je suis Maxi, le pirate de Ryükyü. Je parcoure les océans en quête de certaine information sur un monstre à la peau mauves, ainsi que sur un mystérieux fragment brillant d’une lueur rappelant la couleur du sang.

Le dandy s'aprocha d’une armoire a la gauche de son bureau. Il en sortit deux verres ainsi qu’une bouteille semblant assez vielle. Il remplit un des verres avant de le tendre à Ivy. Il se versa a lui aussi un verre avant de recommencée a parlé.

Auriez-vous des infos pour moi?

Dit-il en souriant, l’air de plaisanter. Il connaissait ce genre de femme, comparable a la belladone elles étaient magnifique en apparence mais quand même redoutable. Il en avait la preuve sous les yeux. Pouvoir manier un fouet parsemé de lame sans se blesser soi même était plus que surprenant. En fait, il appréciait ce genre de femme, il ne savait pas trop pourquoi, peut être parce quelle son bien moins ennuyante que les autres. Il en avait la preuve sous les yeux. Pouvoir manier un fouet parsemé de lame sans se blesser soi même était plus que surprenant, même admirable.

Enfin, dit-il en plongeant les lèvres dans sa coupe.
Permettez moi de vous retournez la question miss Valentine. Que cherchez-vous, quel est votre but?

» Vincent valentine
» Isabella "Ivy" Valentine